Par Joseph Mundruma
Alors que la présidentielle de cette année entame une nouvelle phase, toutes les stratégies de déstabilisation, quitte à se fonder sur des faits fallacieux et inventés de toute pièce, vont désormais bon train.
Certains médias pompeusement dit de presse, en carence d’informations et de créativité, ont fait de la fakenews leur marque de fabrique.
D’abord, ces derniers s’étaient fondus dans des publications faisant croire à l’opinion que des journalistes avaient été victimes d’agressions au quartier général du Rassemblement pour la Patrie et la Modernité (RPM), d’Alexandre Barro Chambrier.
Ensuite, cette information, largement contredite et moquée par les entreprises de presse reconnus pour leur impartialité, l’on n’en est revenu à un journaliste prétendument agressé.
Des montages, chimères et fabrications honteuses que ne sauraient d’ailleurs prouver leurs auteurs.
D’ailleurs, par un communiqué assez explicite, le parti d’Alexandre Barro Chambrier a vivement démenti cette fausseté.
“En réalité il s’agit d’une altercation entre un individu inconnu du RPM et un journaliste venu couvrir une déclaration des leaders de l’opposition”, lit-on sur le communiqué.
Et: “L’incident s’est déroulé à proximité de l’école de Glass et non au siège du RPM “.
Voici qui fait toute la différence. Par extrapolation des faits, déformation de la réalité, a-t-on voulu faire gober une nouvelle fausseté aux populations ? À l’évidence, il semble que oui.
