SOGATRA : Et si Scarlett PINDJI était l’homme de la situation pour relancer une entreprise en difficulté chronique ?
Par Stive Roméo Makanga
La visite récente du président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, dans le Woleu-Ntem a marqué les esprits par son caractère empreint d’humanité. Lors de son excursion à Medouneu, le chef de l’État a choisi, au milieu de la foule, un jeune compatriote dont le nom était scandé avec ferveur, pour le joindre à son cabinet. Ce geste audacieux témoigne de l’ouverture aux talents et de la volonté de valoriser les compétences locales. Une telle approche devrait inspirer les autres secteurs en difficulté, à l’instar de la SOGATRA, où un profil comme celui de Scarlett PINDJI pourrait incarner l’avenir.
Dans un premier temps, il convient de rappeler que Scarlett PINDJI n’est pas un inconnu pour la SOGATRA. Selon une source digne de foi, ce compatriote est titulaire d’une licence en Transports, d’un Master 2 en Commerce et d’un MBA (bac+6) en Communication. Il est donc évident qu’il dispose de solides atouts académiques. De même, son parcours professionnel au sein de cette entreprise témoigne de sa vision stratégique et de sa capacité à proposer des solutions concrètes pour relever une société en difficulté chronique.
Ensuite, en examinant ses réalisations soumises à nos soins, on constate que Scarlett PINDJI a démontré des compétences remarquables. En tant qu’assistant du Directeur général Laurent SKITT AUKENGUET, il a soutenu ce dernier dans ses actes de gestion jusqu’à son départ, marqué par une ovation unanime des agents. De plus, il a conçu un plan exhaustif de restructuration de la SOGATRA, ainsi qu’un organigramme particulier qui privilégiait la méritocratie tout en réduisant la masse salariale.
Par ailleurs, il convient de souligner que Scarlett PINDJI a également proposé 15 projets commerciaux novateurs destinés à générer des revenus pour la SOGATRA, ainsi qu’un plan de communication visant à restaurer l’image de marque de l’entreprise. Ces réalisations montrent une compréhension approfondie des enjeux structurels et opérationnels de la SOGATRA, et une volonté de transformer durablement cette entité.
En outre, Scarlett PINDJI n’est pas seulement un stratège. Il est également reconnu pour ses qualités humaines : un sens aiguisé des relations interpersonnelles, le respect et l’empathie envers ses collaborateurs. Ces traits, rares dans un environnement professionnel souvent marqué par des tensions, en font un leader apprécié et rassembleur.
D’autre part, il est important de mentionner que Scarlett PINDJI dispose d’un riche carnet d’adresses, s’étendant des administrations publiques et privées jusqu’à l’administration militaire et à la Présidence de la République. Ce réseau pourrait jouer un rôle clé pour repositionner la SOGATRA auprès des décideurs stratégiques et obtenir les investissements nécessaires à sa relance.

Cependant, le besoin d’un leadership fort et visionnaire comme celui de Scarlett PINDJI est d’autant plus urgent que la SOGATRA traverse une période critique. Sous la direction actuelle de Florent BAKITA, les limites de la gestion sont évidentes. En effet, la semaine dernière, un agent est décédé lors d’un rassemblement général de revendication, un drame qui reflète la gravité de la crise sociale au sein de l’entreprise.
Certains agents n’hésitent pas à exprimer leur mécontentement. « Sous la direction de Florent BAKITA, nous avons l’impression d’être abandonnés. Nos revendications sont ignorées, et les conditions de travail ne cessent de se dégrader », confie un agent gréviste. Un autre employé ajoute : « Cette direction n’apporte aucune solution. Nos salaires sont en retard, et il n’y a aucune vision claire pour sortir l’entreprise de cette impasse. »
Face à cette crise, Scarlett PINDJI semble incarner une alternative crédible. Un agent proche de l’ancien assistant du DG Laurent SKITT témoigne : « M. PINDJI a toujours été à l’écoute des employés. Il comprenait nos difficultés et cherchait des solutions réalistes. C’est quelqu’un qui connaît la maison et pourrait vraiment défendre nos intérêts auprès des hautes autorités. »
Ainsi, les employés, en quête de solutions pérennes, méritent un dirigeant capable de porter leurs voix jusqu’aux instances décisionnelles et de plaider pour une intervention étatique en faveur de la SOGATRA. Scarlett PINDJI, par son expérience, son engagement et ses compétences, apparaît comme l’homme idéal pour incarner ce rôle.

A l’instar de l’exemple de Medouneu, où le président de la Transition a fait confiance à un jeune talent, la SOGATRA a besoin d’un manager visionnaire pour défendre ses intérêts. Scarlett PINDJI représente cette chance. Sa maîtrise des défis internes et externes de la société, combinée à ses compétences en gestion et en communication, en fait un atout inestimable pour redresser cette institution en difficulté. Il est temps d’agir pour que l’État investisse à nouveau dans la SOGATRA, et pour que la dignité des employés soit restaurée. Scarlett PINDJI, fort de ses compétences et de son engagement, pourrait être la clé d’un avenir meilleur pour cette entreprise qui a tant fait pour les populations.
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