Par Mélissa Bissapi
“Ce dialogue sera ce que les médias en diront”. C’est par cette phrase que la ministre de la Communication et des médias a tenu à rappeler à la presse nationale et internationale la nécessité de donner aux populations vivant à la capitale comme dans l’hinterland, la bonne information.
Dans son laïus de circonstance, elle a insisté sur le fait que les médias ont un rôle crucial à jouer pour informer les populations sur les enjeux de ce dialogue et ses conséquences pour le pays.
Selon la ministre, le Gabon est à un tournant de son histoire et le Dialogue national inclusif est une étape cruciale pour l’avenir du pays. Les médias sont donc invités à y participer activement en offrant une couverture adéquate et informative.
Pour faciliter le travail des journalistes, le ministère de la Communication et des médias a pris des dispositions pour leur offrir des conditions de travail optimales. Une salle entièrement climatisée et équipée de wifi, d’ordinateurs, d’une imprimante et d’un plateau de tournage a été mise à leur disposition.
La ministre a également souligné l’importance de la présence de la presse internationale pour assurer une couverture globale et objective du Dialogue national inclusif. Sur une soixantaine de médias accrédités, ce sont 255 journalistes qui seront présents pour couvrir les activités du dialogue jusqu’à son terme, le 30 avril prochain.
Laurence Ndong a conclu en appelant les médias à être responsables dans leur couverture du Dialogue national inclusif, en veillant à fournir des informations exactes et impartiales pour que les populations puissent se faire une opinion éclairée sur les enjeux de ce dialogue.