Par E.L
Çà sent mauvais à l’école publique des Charbonnages.
Difficile fin d’année scolaire que celle vécue par les élèves et enseignants de l’école publique des Charbonnages, dans le premier siège, du premier arrondissement de la commune de Libreville.
Et pour cause, la décharge (poubelle), jadis située à plus de 300 mètres, se retrouve maintenant à moins de 20 mètres de l’entrée principale de l’établissement. Et les élèves, notamment ceux de 1, 2 et 3e année,, n’hésitent pas à aller jouer dans de l’eau, avec des bouteilles en plastique.
On retiendra que malgré de nombreuses interpellations conjointes, Direction de l’école et bureau de l’association des parents d’élèves (APE), la municipalité de Libreville est restée muette. Incapable de trouver un nouveau site.
Le président de l’APE fustige également l’incivisme des populations environnantes qui ont du mal à réaliser que l’école publique des Charbonnages accueille chaque jour près de 1500 âmes, élèves, enseignants et parents y compris. Et, à l’allure où vont les choses, ces âmes jadis saines, sont désormais exposées à des maladies de tous genres