Par Stive Roméo Makanga
478 élèves de l’enseignement général, technique et professionnel, sur toute l’étendue du territoire national, se sont prêtés le 11 juin dernier aux épreuves inhérentes au “Concours National des Meilleurs Élèves”.
Une initiative de Camélia Ntoutoum Leclercq, la ministre en charge des portefeuilles de l’Éducation nationale et de la Formation civique.
Le tout fignolé, c’est le vendredi 17 juin dernier qu’ont débuté les corrections des épreuves planchées par les candidats. Et, c’est au secrétariat du Centre spécial de l’école publique de Mont-Bouët 1, place de la Sorbonne, que les correcteurs se sont activés.
Fin prêt, le comité d’organisation, que manage le membre du gouvernement précité, avec l’appui d’Aubierge Sylvine Ngoma, sa déléguée, devrait rendre ses conclusions sous peu.
Pour précision, cette énième organisation s’inscrit en droite ligne de la toute première, tenue l’an dernier et qui avait enregistré la participation de 380 élèves.
La valeur symbolique de cette organisation menée de mains de maître par Camélia Ntoutoum Leclercq allant crescendo, ce sont plusieurs entreprises du secteur privé et certaines représentations diplomatiques accréditées en République gabonaise qui ont manifesté leur intérêt, ce en y apportant des contributions multiformes.
Il s’agit très précisément, comme perspective, de la revalorisation et de la promotion de la culture de l’excellence dans notre pays, un axe important de l’engagement politique du chef de l’État, Ali Bongo Ondimba.
Les meilleurs de cette deuxième édition seront connus après la proclamation du baccalauréat, session 2022. Ils recevront de nombreux lots parmi lesquels du matériel informatique et didactique.