Par Stive Roméo Makanga
Axel Jesson Ayenoue, dit « le maire du bonheur », est posté sur le perron de l’Union des jeunes du parti démocratique gabonais (UJPDG), depuis mars 2020 dernier, par décision prise par Ali Bongo Ondimba, principale égérie de cette formation politique, en remplacement de Marius Assoumou Ndong, fait membre du bureau politique (MBP) de la Commune d’Oyem.
L’édile de la mairie du 4e arrondissement de Libreville dispose donc, en plus d’être crédité d’un important capital sympathie au sein de l’opinion, d’un pedigree politique qui ne se discute plus. De Secrétaire national à chargé de missions du président de la République, le patron des jeunes du parti au pouvoir a gravi les échelons. Il a fait ses classes.
Sa délicieuse rhétorique sur les questions sociopolitique séduit de plus en plus de jeunes. Avec les prouesses réalisées au quotidien dans la municipalité dont il a pleine emprise, lui et la fine équipe qu’il s’est constituée pour battre le bitume pour le compte du PDG, on ne saurait dire qu’Axel Jesson Ayenoue manque de hargne et de délicatesse.
Par le truchement de l’UJPDG, sous ses orientations avisées, ils sont de plus en plus nombreux ces jeunes, à croire en la philosophie du parti au pouvoir, de sa réelle volonté d’atteindre à termes, le contenu du projet de société d’Ali Bongo Ondimba.
Par son étonnante capacité d’innovation aussi, « le maire du bonheur » fignole permanemment des solutions opportunes qui permettraient de vaincre la sempiternelle problématique d’insalubrité de Libreville, principale ville du Gabon.
Une préoccupation qui a d’ailleurs constitué la principale thématique de la rencontre initiée par ses soins le 16 janvier dernier, débattue par des panélistes particulièrement instruits sur ces questions.
Le très médiatisé Karim Nziengui, 4e adjoint au Maire de la Commune de Libreville, en charge de l’environnement, convié pour participer à la réflexion, a fait l’exposé de solutions jugées judicieuses par les participants.
Idem pour les représentants de CLEAN AFRICA, principale entité commise à la collecte des ordures ménagères, et très au fait des questions d’environnement et donc d’insalubrité.
L’exercice auquel se sont prêtés les panélistes est, du point de vue de l’opinion, tout ce qui fait la particularité et le charme d’Axel Jesson Ayenoue. Une image publique que ce dernier chéri jalousement, au-delà de la duplicité de quelques collaborateurs haineux et flegmatiques, qui souvent n’hésitent pas de commettre de façon presque fantomatique, quelques diatribes désobligeantes à son sujet.
Serein et confiant dans l’avenir politique forgé par son parcours relativement atypique, le patron de l’UJPDG conforte son image de chef de file de la jeunesse du parti démocratique gabonais, et apparaît comme un précieux maillon dans la chaîne du parti de masse pour la présidentielle imminente.