Par E.L
Ce samedi 27 avril 2024, et ce, jusqu’au 4 mai suivant le collège éponyme situé à Akebe-Ville organise un concours d’orthographe et de poésie en son honneur.
C’est ce qui ressort de l’entretien que sa fille Andréa Ndouna Depenaud, 4e de la famille, a eu mardi 23 avril 2024, avec la presse nationale. Elle était pour la circonstance assistée de son frère cadet, Dimitri Awori Ndouna Depenaud. On y retiendra en résumé que ce concours d’orthographe et de poésie organisé par le collège Ndouna Depenaud, créé par la Fondation les enfants Padouk est pris par la famille du défunt comme le début de la célébration du cinquantenaire du décès de Ndouna Depenaud. De son identité première, Dieudonné Pascal Ndouna Okogo (DPNO). Après accord par les services compétents, il réussira à améliorer et insérer son patronyme (Depenaud) dans son acte de naissance.
Au terme de cette première phase, l’établissement va se réapproprier son activité culturelle, à Libreville. Et de son côté, la famille sous la houlette des enfants, va lancer ” le Grand concours Ndouna Depenaud”, dans les localités où l’enseignant et poète a servi, notamment, à Batouala (Ogooué-Ivindo)son premier poste d’affection, puis le second à Oyem (Woleu-Ntem) et afin à Akieni (Haut-Ogooue) terre de ses ancêtres. Le tout de 2025 à 2027.
Parallèlement à ce concours, a fait savoir Andréa Ndouna Depenaud., il sera procédé à la réédition des poèmes de Ndouna Depenaud, “ceux déjà édités et des inédits avec des notes biographiques”, le tout dans un recueil intitulé << Anthologie poétique Ndouna Depenaud>>. Et y aura également a-t-elle renchéri, des activités de scout avec le clan éponyme.
Pour revenir au concours d’orthographe et de poésie qu’organise le collège Ndouna Depenaud du 27 avril au 4 mai 2024, on note que 60 élèves au total y prendront part. Ces apprenants sont issus des classes de 4e et 5e année du Primaire ainsi.que ceux du 6 et 5e du Secondaire. Celui qui restera à jamais présent dans l’univers éducatif et poétique est décédé le 19 juillet 1977, à Libreville. Nous y reviendrons.
1 Commentaire
C’est une excellente et heureuse nouvelle. Il faut valoriser nos écrivains gabonais qui ont marqué l’histoire du pays. Je serai à cet événement