Par Pauline Ntsame
Il y a belle lurette déjà que la Ngounié Sud, l’une des zones politiques les plus particulière du Gabon, n’est plus représentée au plus haut niveau de l’administration publique et parapublique, ainsi qu’au sein des organes décisionnels du Parti démocratique gabonais (PDG-au pouvoir). Les populations de cette partie du pays, l’un des principaux bassins du parti de masse réclame désormais leur côte part auprès d’Ali Bongo Ondimba, numéro un de la formation politique.
« Nous croyons que les portes de l’Union des Jeunes du Parti Démocratique Gabonais (UJPDG) s’ouvrent pour Jules NZEMBA NZEMBA, fils natif des 3 Louetsi de la Ngounié » confie un militant, convaincu du choix judicieux qu’il représenterait.
« Il faut dire que Jules NZEMBA NZEMBA est prêt pour la mise en œuvre de la politique du Président de la République. C’est un homme de conviction. Il est tout à fait capable de faire vivre le PDG dans cette partie du Gabon. Nous pensons ici que les portes de l’ UJPDG pourraient, en effet, bien s’ouvrir, même si progressivement, en faveur du Défenseur Farouche d’Ali Bongo Ondimba, Jules NZEMBA NZEMBA pour succéder Axel Jesson Aynouet » at-il ajouté, convaincu.
Ayant fait ses preuves en qualité de Membre du comité permanent, Conseiller politique chargé de la communication, et Secrétaire politique chargé de la communication de l’ACR de Bruno Ben Moubamba, l’ancien Vice Premier Ministre du Gabon, Jules Nzemba Nzemba a aussi été Rapporteur Général Adjoint 1 du premier congrès extraordinaire de Démocratie Nouvelle de René Ndemezo, et plusieurs fois coordinateur et directeur des campagnes de plusieurs candidats.
Interrogé sur la question, l’homme d’affaires gabonais et stratège politique se dit prêt à mobiliser la jeunesse gabonaise et mener des opérations de stabilisation du PDG dans la Ngounié Sud, aux fins d’assurer une victoire certaine au premier tour à Ali Bongo Ondimba en 2023 prochain, au scrutin présidentiel.
Selon toute confidence, l’arrivée de Jules NZEMBA NZEMBA à L’UJPDG pourrait apporter un nouveau rythme de travail politique, et une plus grande accélération des actions directes auprès des populations.