Par la Rédaction
Dans un récit aussi poignant que complexe, un compatriote se retrouve au cœur d’une situation épineuse : être le père d’un enfant qu’il n’a pas engendré. Entre trahisons, doutes et révélations inattendues, cette histoire révèle le dur quotidien auquel de nombreux gabonais sont si souvent confrontés.
Tout commence entre 2017 et 2018, alors qu’un compatriote dont nous tairons le nom par discrétion, résidant à Bikélé, entame une liaison avec une jeune femme gabonaise vivant au PK12, dont les initiales du nom sont OMHC. Tous deux déjà parents de deux enfants chacun, ils succombent à une relation extra-conjugale, malgré les complications morales qui en découlent.
Après trois mois de relation compliquée, ce dernier décide d’y mettre un terme, déçu par le comportement de sa partenaire. Mais le destin en décide autrement lorsque la jeune femme réapparaît quelques mois plus tard, affirmant être enceinte de lui. Déconcerté et sceptique, il exige un test de paternité, refusant d’accepter la responsabilité d’un enfant dont il doute être le père.
Cependant, la procédure se révèle être un parcours semé d’embûches. Les tests de paternité ne peuvent être effectués qu’après la naissance de l’enfant, obligeant ainsi notre compatriote à attendre avec anxiété l’issue de cette grossesse controversée. Finalement, l’enfant naît et la pression monte lorsque la mère insiste pour que l’homme reconnaisse sa paternité, sollicitant même l’intervention de ses proches pour le convaincre.
Contraint par les pressions familiales et touché par la sincérité de la mère, il accepte d’accueillir l’enfant, prêt à assumer le rôle de père. Cependant, une découverte choquante vient bouleverser cet élan de générosité : l’acte de naissance révèle que l’enfant a été déclaré au nom d’une autre personne.
Un coup de tonnerre pour notre compatriote, qui réalise alors qu’il a été trompé, manipulé, et que son foyer a failli voler en éclats par le fait des confrontations récurrentes entre les deux femmes. Se sentant trahi et abusé, il décide de prendre des mesures légales pour démêler cette situation complexe et injuste.
1 Commentaire
Bien fait trop c’est trop beaucoup de gabonais sont victime de ses sorcières la