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Gabon/SEEG : des délestages de 6 heures en moyenne dans le Grand libreville; l’étudiant publiciste Jovanny Moubagna livre une analyse objective auprès de la SEEG.

Par Kongossanews

Les populations,oubliées par les membres du gouvernement illégitimes en congés.

Au Gabon, la fourniture d’énergie électrique subissait déjà des perturbations régulières avant même ladite situation. Mais il s’agissait de coupures inattendues, intempestives, et fréquentes, qui en général duraient quelques heures.
En plus du faible taux d’électrification, le gabon éprouve des difficultés à alimenter la faible portion de sa  population ayant accès à l’électricité.

Les villes du Grand Libreville sont soumises à des délestages quotidiens. Cette situation de fait, affecte viscéralement la vie des consommateurs,qui demandent à la société d’énergie d’eau du Gabon (SEEG) d’améliorer la qualité de ses services. Selon la société, le délestage est dû à un problème technique.

Les villes les plus touchées par ce problème sont Libreville,  Akanda et Owendo,etc. Si rien n’est fait dans les plus brefs délais, c’est sera la catastrophe.Généralement, il y a coupure entre 18h et minuit. Il y a des gabonais qui ont des activités qui dépendent de l’électricité. Ça fait un manque à gagner non seulement à l’Etat mais aussi pour ces jeunes citoyens entrepreneurs ou travailleurs. Malgré cela, à la fin du mois les factures des foyers augmentent excessivement.

Si les problèmes techniques sont connus. Au niveau de la SEEG, nous demandons aux responsables de trouver des solutions pour remédier à toutes ces questions. Pour améliorer la qualité de la desserte. Car, une coupure de courant, cela signifie en général  pour un particulier : pas de lumière, pas de télévision ou de réfrigérateur; pas de cuisine si le fourneau est électrique ; pas d’eau, car le surpresseur qui monte l’eau dans les tuyaux est à l’arrêt ; pas d’internet car le modem n’est plus alimenté. Bref, une journée incommode.

Pour les entreprises, pas d’outil de travail, donc pas de recette. Bref, une journée gâchée.

JOVANNY MOUBAGNA,étudiant en master recherche droit public a l’Université Omar Bongo, citoyen engagé et président fondateur du mouvement SOSGABON.

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