Par la Rédaction
Expulsée de la parcelle n°98/J du plan cadastral de Libreville, d’une superficie de 970 m² (échelle 1/500) en vertu du titre foncier 3276 appartenant à feue ESSONGUE DELPHINE, Dame Charlotte BOUTOUNDOU ANGUILET mène une campagne de dénigrement contre Faustin LEGAULT. Cette expulsion a été ordonnée par l’arrêt n°11/2023-2024 rendu le 23 février 2024 par la cinquième chambre civile de la Cour d’appel judiciaire de Libreville. Cependant, Charlotte BOUTOUNDOU ANGUILET, décrite comme une femme sans loi, s’est engagée dans une campagne de diffamation, d’insultes, et de menaces de mort à l’encontre de Faustin LEGAULT, ancien directeur général des Eaux et Forêts et ex-secrétaire général du même ministère, un octogénaire de bonne moralité, qui agit en qualité de mandataire légal de la succession Fausther née ESSONGUE DELPHINE.
**Quelle est la source de cette animosité de Charlotte BOUTOUNDOU ANGUILET envers Faustin LEGAULT ?**
Dame Fausther née ESSONGUE DELPHINE, décédée le 10 février 1998, a laissé plusieurs biens, dont des meubles et immeubles, répertoriés dans un testament signé devant notaire le 31 août 1951 et enregistré le 30 juin 1954. Parmi ces biens figure la parcelle n°98/J située à l’Avenue de Cointé à Libreville, où des constructions sont occupées par des locataires depuis plus de 30 ans. Marie Thérèse YOUNGUE, mère de Charlotte BOUTOUNDOU ANGUILET, s’était installée sur une partie de cette parcelle avec l’autorisation de la défunte ESSONGUE DELPHINE.
En 2005, Charlotte BOUTOUNDOU ANGUILET et sa mère ont revendiqué la propriété de l’ensemble des biens immobiliers laissés par ESSONGUE DELPHINE et se sont appropriées les loyers au détriment des héritiers légitimes. Le 28 juillet 2014, la succession Fausther née ESSONGUE DELPHINE a saisi le tribunal pour l’homologation du rapport d’expertise, l’expulsion, et le recouvrement des loyers perçus illégalement. Malgré une opposition farouche de Charlotte BOUTOUNDOU ANGUILET qui contestait la légitimité de Faustin LEGAULT en tant que mandataire de la succession, le tribunal a finalement condamné Charlotte BOUTOUNDOU ANGUILET et sa mère à payer 168 millions de francs CFA, représentant les loyers perçus entre 2005 et 2018.
**Pourquoi Charlotte BOUTOUNDOU ANGUILET s’acharne-t-elle sur Faustin LEGAULT ?**
Il est important de préciser que Faustin LEGAULT agit en qualité de représentant légal de la succession Fausther née ESSONGUE DELPHINE, appuyé par plusieurs membres de cette succession. Après 19 ans de batailles judiciaires, la justice a tranché en faveur de l’expulsion de Dame BOUTOUNDOU ANGUILET sur la base des preuves fournies. Les accusations de corruption de magistrats portées contre Faustin LEGAULT relèvent de la diffamation. En outre, BOUTOUNDOU ANGUILET pourrait-elle prouver que Faustin LEGAULT n’a pas le droit de représenter la succession ou qu’il n’est pas parenté à ESSONGUE DELPHINE ?
En tout état de cause, l’avenir nous éclairera sur ces accusations portées par Charlotte BOUTOUNDOU ANGUILET contre Faustin LEGAULT, un homme dont l’intégrité demeure intacte jusqu’à présent.
2 Commentaires
Monsieur de kongossanews nous réclamons un droit de réponse, comme cette article est tout aussi diffamatoir nous voulons aussi vous éclairer sur cette affaire, et au faite nous ne sommes pas locataire depuis 30 ans mais de plus 100 ans je reviendrai vers vous
Voici au moins un article qui restitue succinctement les faits d’une affaire qui s’est soldée positivement avec l’expulsion d’un imposteur.
Espérons que dame nature et les autorités municipales viendront poursuivre le processus.