Par Stive Roméo Makanga
Face à son auditoire, le 15 décembre dernier, Daltry Nang Eko s’est entretenu avec les populations de la Commune de Ndjolé, ce après plus de deux ans d’absence dans le département de l’Abanga-Bigné, une petite ville du Gabon.
À l’invite des populations, lesquelles avaient exprimé le besoin d’être éclairées au sujet d’informations complexes relayées par la presse, y compris celles relatives à l’adhésion au Parti démocratique gabonais (PDG) de Daltry Nang Eko, ont eu droit à l’éclairage sollicité.
Ce sont près de 700 compatriotes qui ont fait le déplacement, répondant de fait à l’appel de Daltry Nang Eko.
Sans tergiverser, ce dernier a balayé d’un revers de la main tous les bruits de couloir qui ont couru pendant son absence, y compris ceux relatifs à une perception supposée d’une enveloppe de 300 millions de francs CFA, peu après la fin de sa détention préventive à Lambaréné.
“Qui me les a donnés ?” et “Où sont les photos, dans un contexte où tout se filme?”, s’est interrogé Daltry Nang Eko, battant ainsi en brèche toutes les accusations formulées contre lui.
Et: “Serai-je aussi libre?”. Une interrogation à laquelle ses auditeurs ont répondu par la négative, corroborant, du reste, la thèse d’une tentative désespérée des détracteurs de Daltry Nang Eko, de ternir son image.
“Un acte bas, qui ne grandit pas son auteur”, a-t-il conclu.
Outre cet aspect, il a aussi été question pour ce fils du Gabon de confirmer son adhésion au Parti démocratique gabonais (PDG). Un positionnement politique accepté à l’unanimité par les populations, qui n’ont vu aucune raison que cela fasse l’objet de débats.
Très fidèle à ses idéaux de partage, de cohésion et de bonne intelligence, Daltry Nang Eko s’est assuré que son auditoire soit traité avec la plus grande délicatesse, ainsi qu’il est coutume partout à travers le Gabon, où l’hospitalité est le maître mot.
Des dispositions particulières qui ont fait toute la joie des populations.