Par Davy James
C’est par une convention conjointe de l’autorité de régulation du secteur ferroviaire (ARTEF) et de l’Africa University Management (AUM), entérinée jeudi 16 juin dernier, que la formation des jeunes aux métiers du ferroviaire a été rendue possible.
Un partenariat représentatif de la volonté des plus hautes autorités gabonaises, qui souhaitent une meilleure insertion professionnelle des jeunes, de même qu’une parfaite adéquation formation-emploi. La réduction du taux de chômage chez les jeunes constituant l’objectif à atteindre à tout prix.
“Accompagner sur le plan social, économique la politique des plus hautes autorités (…) Nous essayons de mettre l’accent sur les actes”, a déclaré Patrice Aboubakar Nendjot, secrétaire exécutif de de l’ARTEF, avant de préciser : “Et aujourd’hui cet acte symbolise l’accompagnement de l’ARTEF sur le plan de la formation”.
Un engagement plein de sens puisque pour le secrétaire exécutif de cette entité de l’État, à côté de la problématique lié au chômage, à l’employabilité des jeunes, il s’agit aussi d’enrichir l’offre de formation des écoles supérieures, ce en intégrant dans leurs programmes les filières du secteur ferroviaire.
Un avis corroboré de Hermann Pouna, le secrétaire général de l’AUM qui, saisissant la portée de cet enjeu, a rassuré Patrice Aboubakar Nendjot sur l’efficacité des étudiants qui passeront par l’établissement dont il est l’un des principaux acteurs.
Une collaboration qui créera, à termes, un intéressement particulier des jeunes pour les métiers du ferroviaire, un secteur dont l’employabilité est sans équivoque.
