Dans le cadre de la campagne référendaire pour le scrutin du 16 novembre 2024, une rencontre stratégique s’est tenue le mercredi 13 novembre dans le 1ᵉʳ arrondissement de Franceville. Cette initiative, organisée par une équipe mobilisée autour du “Oui”, visait à sensibiliser les femmes, considérées comme un électorat clé, aux enjeux du référendum.
Sous la coordination de Karine Cécilia Arissani, épouse Ondong Ntoutoume, responsable de la mobilisation, et de Simone Atchougou, chargée des femmes, accompagnées de son adjointe Scholastique Odina, l’équipe s’est rendue dans les lieux névralgiques du 1ᵉʳ arrondissement. Étaient également présents Thibault Okoumba, superviseur, et Willy Abieri, responsable logistique.
Les échanges se sont déroulés avec les responsables des marchés, des associations féminines, ainsi que de nombreuses femmes électrices. Ces dernières, reconnues pour leur rôle prépondérant et leur engagement dans les dynamiques politiques locales, ont reçu une attention particulière. “Les femmes, tout comme les jeunes, représentent un pilier essentiel de l’électorat. Leur participation active est un gage de succès pour cette consultation citoyenne”, a souligné Mme Arissani.
Au cours des discussions, les intervenants ont mis en lumière les enjeux du référendum et les raisons de voter pour le “Oui”. Ils ont insisté sur l’importance de ce vote comme vecteur de changement et de progrès. L’objectif était de susciter une adhésion massive et éclairée des électrices, tout en renforçant leur sentiment d’implication dans la construction de l’avenir du pays.
La rencontre s’est achevée dans une ambiance chaleureuse avec une photo de famille symbolisant l’unité et la mobilisation en faveur du “Oui”. Une collation a été offerte aux participantes, scellant ainsi une matinée marquée par des échanges enrichissants et une mobilisation exemplaire.
Ce genre d’initiatives montre l’importance des campagnes de proximité, où chaque voix compte et où le dialogue citoyen reste au cœur des priorités. Le 16 novembre, les électeurs du 1ᵉʳ arrondissement, à l’instar du reste du pays, seront appelés à s’exprimer sur un choix décisif pour l’avenir du Gabon.
