Par la Rédaction
Un homme de 69 ans a ouvert le feu sur plusieurs personnes vendredi 23 décembre courant à Paris. Selon les sources policières, l’individu serait connu de leurs services pour avoir déjà attaqué au sabre un camp de migrants en 2021.
Remis tout juste en liberté le 12 décembre dernier, le sexagénaire sera poursuivi pour des motifs racistes, a indiqué le procureur de Paris, ce d’autant que la fusillade a eu lieu près d’un centre communautaire Kurde.
Bilan : trois militants Kurdes tués sur le champ, et trois blessés.
Alors qu’il prenait la parole sur les lieux de la fusillade, Gérald Darmanin, le ministre de l’intérieur, a été interrompu par des échauffourées de manifestants Kurdes.
Les forces de l’ordre ont dû recourir aux gaz lacrymogènes.
Les tensions sont encore vives.
