Cabale numérique contre Bertrand Zibi : le trouble rôle de Tamara José MENGNE MBO, avocate autoproclamée du barreau de Paris
Il est des comportements qui dépassent l’entendement. Celui de Tamara José MENGNE MBO en est un triste exemple. Fille de ZENG MEGNE Edouard et de ZUE Marie Thérèse, originaire du Haut Ntem, cette jeune femme jusque-là inconnue dans les cercles politiques vient d’émerger, mais pour de bien mauvaises raisons. Son terrain de jeu ? Les réseaux sociaux, où elle se livre à une surenchère tapageuse et irrespectueuse. Ses motivations ? Aussi troubles que son parcours.
Le 16 février dernier, une diatribe particulièrement virulente a envahi la toile. Pendant plus de deux heures, une certaine « Princesse de Souba » s’est employée à démolir Bertrand Zibi Abegue, figure respectée du paysage politique gabonais et fervent partisan du général Brice Clotaire Oligui Nguema. Non contente d’insulter l’ancien député de Bolossoville, cette « influenceuse » du dimanche a également ciblé l’autorité du chef de l’État lui-même.
Pourtant, Zibi avait joué la carte de l’apaisement lors d’une intervention publique, la veille à Arambo. Son avertissement, empreint de sagesse – « Toi qui m’insultes sur les réseaux sociaux et dénigres le Chef de l’État, fais simplement attention » – n’a manifestement pas suffi à calmer les ardeurs de cette campagne haineuse. Pire, « Princesse de Souba » a trouvé en Tamara José MENGNE MBO une alliée.
Mais dans cette bataille numérique, l’activiste a commis une erreur stratégique majeure : miser sur un pion au passé embarrassant.
Peut-on se poser en donneuse de leçons quand on traîne soi-même des casseroles bien bruyantes ? En septembre 2019, MENGNE MBO recevait une lettre recommandée de la part d’un certain Yves Billet, l’informant du rejet d’un chèque sans provision – un document attesté par le CIC (n°4361998). Résultat : interdiction bancaire de cinq ans et fichage à la Banque de France. De quoi sérieusement entamer sa crédibilité. Et pourtant, voilà cette jeune femme en train de donner des leçons de morale à une figure aussi respectée que Bertrand Zibi Abegue.
En dehors de ce grief, Tamara est une menteuse professionnelle. Une usurpatrice invétérée, qui s’est cru bon de s’autoproclamer avocate au barreau de Paris. Poussant le mensonge à l’extrême, elle a prétendu avoir dirigé un Cabinet totalement fictif, avec des associés imaginaires. Mais les faits sont frappants : elle n’est nullement inscrite au barreau de Paris. Mieux, elle a même fait l’objet d’une dénonciation pour usurpation du titre d’avocat en République française.
Malgré un lien familial éloigné avec Zibi, MENGNE MBO s’est acharnée à salir un homme dont l’engagement patriotique est reconnu. Dans les traditions africaines, le respect des aînés reste une valeur cardinale. En violant ce principe fondamental, elle ne fait que contribuer à un climat de division et d’anarchie. Mais au profit de qui ? Agit-elle seule ou sous l’influence d’un tiers ? Les rumeurs sur une éventuelle rémunération ne manquent pas…
Le cas de Tamara José MENGNE MBO est symptomatique d’un mal bien plus grand : l’usage dévoyé des réseaux sociaux. Diffamation, manipulation, acharnement contre des figures publiques respectées – ces pratiques deviennent monnaie courante dans un espace numérique de plus en plus toxique.
Mais les Gabonais ne sont pas dupes. Ils savent reconnaître ceux qui, comme Bertrand Zibi Abegue et le président de la Transition, se battent pour la stabilité et l’avenir du pays.
L’histoire est pleine d’exemples où la vérité finit par triompher des manœuvres les plus insidieuses. Bertrand Zibi demeure un homme debout, fidèle à ses principes. Aux attaques infondées, il oppose la force et l’intégrité. Quant aux fauteurs de troubles, ils découvriront tôt ou tard que les cabales numériques, si bruyantes soient-elles, s’effondrent toujours face à la solidité des faits.



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