Par Agnès Limori
Après un scrutin très serré, le peuple brésilien a élu dimanche 30 octobre courant Lula à la tête du pays. L’icône insubmersible de la gauche latino-américaine est finalement venu à bout de Jair Bolsonaro, le président sortant d’extrême droite.
Une victoire très saluée à la fois par de nombreux pays dont l’Espagne et l’Angleterre, qui espèrent s’accorder sur des conclusions communes en matière de lutte contre le réchauffement climatique, entre autres préoccupations.
Il s’est agi, de l’avis de nombreux observateurs de la vie politique brésilienne, d’un scrutin pacifique et bien organisé.
Lula Da Silva, que les électeurs célèbrent avec faste depuis la nuit de dimanche, arrive ainsi à la tête de la huitième puissance économique mondiale.
Pour rappel, le Brésil est une puissance émergente, membre de l’organisation des nations unies (ONU), du G20 et des BRICS.
Il faut aussi relever que sur le plan militaire, les forces armées brésiliennes sont classées parmi les vingt premières puissances militaires, et talonnent celles des États-Unis.
