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Fakenews des 338 millions : le “Palais” soupçonné de vouloir la tête d’Eugène Mba

Par Kongossanews

Dans les Rédactions, la problématique revient. Les nouveaux “maîtres” du “Palais” sont-ils à l’origine de la fakenews relative aux 338 millions impliquant directement l’édile de la mairie de Libreville? 

Tous les éléments incitent à une déduction par l’affirmative. 

D’abord, les sites d’ “informations”, si tant est qu’on peut les appeler ainsi, qui ont fait la propagande de cette affaire, sont identifiés comme faisant partie de la petite galaxie pilotée depuis le “palais”.

Ensuite, il y a aussi les numéros qui procèdent au relais de l’information mensongère, puisque démentie par l’hôtel de ville de Libreville, sont les mêmes déjà identifiés comme appartenant aux mêmes protagonistes. 

De fait, la question qui taraude les esprits est celle de savoir ce que chercherait le “palais”, si tant est qu’il est impliqué, dans l’opération de pourrissement en cours sur les réseaux sociaux, sur WhatsApp précisément, de l’image de Eugène Mba. 

Selon le site d’informations 7joursinfo, l’intégrité d’Eugène Mba serait à l’origine de l’acharnement. Le nouvel édile subirait les foudres de ses détracteurs pour avoir fait preuve de rigueur, dans la nouvelle tâche confiée. 

D’après la même source, le nettoyage effectué par Eugène Mba des anciens collaborateurs de Léandre Nzué, l’ancien maire, serait le mobile réel de l’acharnement. 

“Ayant viré ce beau monde, le nouveau maire de Libreville, à commencé à recevoir des flèches empoisonnées, des peaux de bananes et des articles tendant à nuire à l’image de ce dernier” affirme notre confrère. Et de renchérir : “Depuis quelques semaines, pour des fallacieux prétextes, des médias à la solde du palais, sont allés fouiller les poubelles du Ministère de l’Économie et celui du budget, pour accuser le maire de Libreville de détournement de deniers publics”

Un acharnement qui exaspère au plus haut point les gabonais, outrés par ces sordides manigances, lesquelles sont loin de grandir la République.

Agnès Limori

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