Par Davy James
Voilà une fois encore, l’une des mamelles de l’État, sinon la plus importante, sur la sellette, cette fois-ci non pas pour des faits d’objectifs budgétaires dépassés mais pour des ambitions démesurées de certains de ses agents qui versent lâchement dans la délation, l’injure et la médisance.
En effet, depuis quelques jours, nous lisons éberlué sur les réseaux sociaux des posts qui tranchent nettement avec la réalité du surpassement des objectifs budgétaires assignés, comme en témoignent les rapports mensuels publiés par l’autorité de tutelle de l’Economie et des Participations. Hélas ! Nous sommes bien loin de la compétence tant vantée au détriment du premier fiscaliste de la DGI, en la personne de Monsieur Éric BOUMAH. Mais pourquoi autant d’acrimonie contre un manager aguerri qui a fait ses preuves dans les services de la Direction Générale des Impôts ? Nous avons mené notre enquête au sein de cette administration stratégique pour les finances publiques et le résultat de notre démarche est sans appel.
Aussi, la quasi-totalité des agents sont estomaqués par ces vomissures au point de les qualifier de « non-évènement » commis par des lâches qui n’ont même pas une once de courage de signer leur post.« La lâcheté chevillée à leur corps, ils ne peuvent qu’émettre un tel venin car leurs aptitudes ne dépassant pas le bas de la ceinture, ils n’ont aucun argument professionnel à opposer à l’actuel Directeur Général des Impôts qui a su fédérer les agents autour de sa vision managériale », clame fièrement un agent des Impôts. Un autre n’a pas hésité à nous faire lire un post reçu dans son téléphone où un des collaborateurs du DG fait étalage de ses « présomptions de connaissances » pour justifier être éligible à la dotation d’un véhicule de fonction. Cet agent dira à notre rédaction, l’air amère, que c’est toujours les mêmes qui brillent par un nombrilisme effarant, une suffisance qui n’a rien apporté de positif dans notre maison.
Notre analyse nous a conduit à penser qu’aux Impôts certains agents sont pris d’une frénésie « postomanique » . Le fauteuil de DG des Impôts a toujours été l’objet d’autant de convoitise sans réelles ambitions professionnelles de développement. Les calculs financiers pour garnir leur compte bancaire personnel rivalisent d’ingéniosité avec l’incompétence des uns et des autres. « C’est pas étonnant que ces derniers fassent étalage de l’étroitesse de leur esprit mais surtout de leur petite personne en insultant et en calomniant ceux qui, contrairement à eux, sont résolus à accomplir avec abnégation les missions qui leurs sont assignées ».
Le climat social apaisé constaté au sein de la Direction Générale des Impôts. ” DGI” , résultat d’un management avéré, ne peut que déplaire aux esprits morbides qui ont fait de la chienlit dans cette Direction un fond de commerce pour nourrir leurs ambitions personnelles. Nous nous demandons où sont passé les Syndicats de la DGI pour remettre les choses dans l’ordre et veiller, telles des sentinelles, à la préservation de la sérénité au sein de leur administration. Mais une chose est claire, si on doit lyncher un Directeur Général pour une distribution de véhicules de fonction, que fera-t-on si on accède au premier fauteuil de la DGI? Un conseil à l’actuel DG, continuez à dépasser vos objectifs budgétaires et laissez-nous pisser sur la lâcheté des aigris.
Gabon/Régies Financière: Lorsque les inaptes veulent installer la chienlit aux Impôts
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