En prélude au grand rassemblement qu’ils organisent ce samedi 11 février à l’amphithéâtre de l’École Normale Supérieure de l’Enseignement Technique (ENSET), “Les soldats de la paix”, organisation conduite par Rodrigue Maïssa Nkomah a débuté les hostilités vendredi 10 février courant.
Il s’est agit pour ces compatriotes épris du concept de “Paix”, en temps que facteur essentiel à la cohésion sociale, d’entamer une campagne de sensibilisation dans le Grand Libreville.
Chants, cris de joie, acclamations…c’est par le moyen d’une longue procession de motos que “Les soldats de la paix ” ont arpenté les principales artères de la capitale dont le rond-point d’Awendje, de la paix, de Nzeng-Ayong et du lieu-dit de la gare routière.
“C’est un concept novateur et vous remarquerez qu’au cours de notre caravane les gens étaient émerveillés. C’est la première fois pour eux de voir autant de motards”, a déclaré Rodrigue Maïssa Nkomah.
Renchérissant : “Il faut retenir que la paix est essentielle et cette association de motards est une façon de participer à la vulgarisation de la paix. Chacun doit comprendre que la paix est vitale. Elle doit quitter de simple slogan à la pratique “.
Par le rassemblement de l’ENSET, le principal leader des “Soldats de la paix” à réitérer son ambition mettre les bouchées doubles pour ce qui est de la sensibilisation. “Nous emmènerons les uns et les autres à magnifier cette paix, qui existe au Gabon et qui est pour nous une culture nationale “, a-t-il appuyé.
“J’aimerais réitérer mes vives félicitations aux acteurs politiques qui ont compris, en tête desquels le numéro Un Gabonais qui appelle la classe politique à se réunir autour de cet idéal pour penser la paix. Je n’oublierai pas le premier ministre qui lui aussi, lors de son passage à l’Assemblée nationale, pensé qu’il fallait prier pour la nation. Et toutes ces actions vont dans le sens de la consolidation de cette paix qui existe”, a-t-il martelé.