Par Pauline Ntsame
C’est ce qui ressort des récents articles d’une certaine presse qui semble obéir à des individus mal intentionnés qui tireraient des ficelles, le but étant de nuire au Délégué spécial de la mairie de Libreville. Mais qu’a-t-il fait?
Le général Jude Ibrahim Rapontchombo, par ailleurs Délégué spécial de la mairie de Libreville, est depuis quelques temps la cible d’une campagne médiatique de dénigrement et de déstabilisation orchestrée par on ne sait quelle main noire tapis dans l’ombre. Alors que ce dernier, avec la bénédiction et la confiance du président de la transition, le général de brigade, Brice Clotaire Oligui Nguema, s’atèle à résoudre les sempiternels problèmes d’insalubrité à Libreville qu’il a pourtant trouvé, certains s’obstinent à remettre en question ses capacités de leadership.
Il faut noter que les efforts de sensibilisation et de déguerpissement des occupants anarchiques de l’espace public ainsi que la gestion des déchets n’ont pas abouti aux résultats escomptés quant au lancement de l’opération «Restauration de l’ordre urbain » et ce, malgré les multiples initiatives. Il en va que nonobstant les efforts de ce dernier dans le suivi de la feuille de route établie par le président de la transition, certains médias, à la solde des terroristes du bien être et du vivre ensemble se seraient donné pour leitmotiv le ternissement de l’image du Délégué spécial, tout en insinuant son incapacité à gérer la situation, sans preuve aucune.
Une opération qui tire sa source purement et simplement de la méchanceté gratuite quand on sait que la victime ici n’a de comptes à rendre qu’à son supérieur, responsable de sa nomination, et que jusqu’ici son « incapacité » ou « incompétence », qui seraient une vue de l’esprit pour ses détracteurs, n’ont jamais été indexées par ce dernier.
Qu’est ce qu’on cherche ?
De plus, au cours d’une récente réunion regroupant divers responsables des départements techniques impliqués, le général Jude Ibrahim Rapontchombo a réprimandé certains agents municipaux pour leurs pratiques obsolètes qui entravent les opérations sur le terrain.
Serait-on tenté de se demander si le Délégué spécial n’est pas victime de sa rigueur, lorsqu’on sait que lors de sa prise de fonction à la mairie de Libreville, ce dernier avait clairement averti que sa main ne tremblera pas quand il s’agira de ramener à l’ordre, et quand on sait qu’ils sont plusieurs à affectionner de mauvaises habitudes, en plus de ne pas vouloir être secoué ou gêné dans leur zone de confort.
De plus, ils sont d’ailleurs nombreux à affirmer que depuis son arrivée à la tête de la mairie de Libreville, le dialogue a été renoué avec les partenaires sociaux, une commission pour une nouvelle rémunération des agents municipaux a été mise en place, la coopération décentralisée a été dynamisée. Il a également favorisé le retour des fonctionnaires à leurs postes d’origines, ce qu’on peut qualifier de mesures positives.
Finalement, que lui reproche-ton ?