Par Pauline Ntsame
Très en faveur d’une politique efficace de natalité, Ali Bongo Ondimba a, grâce à un leadership de haute portée, mis ses concitoyens à l’abri des inquiétudes. La preuve dans les hôpitaux.
C’est en tout cas ce que révèlent les dispositions prises au sein des institutions sanitaires du pays.
L’on constate une gratuité permanente de tous les examens, pour les femmes gabonaises dans les hôpitaux publics, sur présentation des certificats de grossesse.
Techniquement, il y en a 3, représentant les 3 trimestres, phases importantes de grossesse, et délivrés par des sages femmes dans les Centres de santé maternels et infantiles (CSMI).
Pour toutes les femmes gabonaises, le gouvernement assure la gratuité des examens suivants: le groupe sanguin Rhésus, l’électrophorèse de l’hémoglobine, le sérologie de la syphilis (BW), la numération formule sanguine (NFS), la glycémie, la toxoplasmose, la rubéole, la sérologie de l’hépatite virale B et la sérologie rétrovirale HIV.
Des examens qui sont à plus de 70.000 francs CFA, et totalement pris en charge par l’État gabonais et tout cela grâce au chef de l’État.
Autre mesure importante, la gratuité de l’accouchement, laquelle prend effet à la condition de passer les 2 nuits exigées sous observation dans une maternité publique.
“Les Gabonaises sont vraiment privilégiées. S’il nous fallait assumer toutes ces charges, très honnêtement je me demande comment on s’en sortirait. Mais grâce à cette politique, la seule exigence que nous ayons, c’est juste de nous faire suivre pour bénéficier des trois certificats CNAMGS qui nous accordent la gratuité jusqu’à l’accouchement” témoigne Laure M, une bénéficiaire.
Des mesures qui, selon toutes informations, dateraient de 2008, puis renforcées et améliorées depuis le premier septennat d’Ali Bongo Ondimba, en 2009.
Selon une étude publiée par le département des affaires économiques et sociales des Nations Unies, révélée par Country Meters en 2019, d’ici 2100, la démographie gabonaise devrait être portée à 4,9 millions d’habitants.
La même étude révèle qu’entre 1951 et 2020, la croissance démographique a oscillé entre 0,41 et 2,80%.
Mais grâce aux facilités accordées aux femmes gabonaises en ce domaine, les objectifs du chef de l’État pourraient être atteints.