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1er mai/Fête du travail: pour les Régies financières, il n’y a pas de quoi se réjouir au regard des “exactions” du gouvernement

Par Kongossanews

Par Davy James

Les Régies financières et administrations assimilées ( SYNAPERDOUANES, TRANSPARENCE, SYLICONE) ont tenu une déclaration samedi 30 avril courant, à leur siège d’Awendje. Objectif: faire un constat clair et simple sur la situation des régies financières.

Cette déclaration, relative aux festivités du 1er Mai, date marquant la victoire de la valeur du travail sur le capitalisme de l’ouvrier, sur la bourgeoisie et bien d’autres, celle des travailleurs sur le patronat, après les événements tragiques survenus à Chicago dans l’état de l’Illinois aux États-Unis Unis le 3 Mai 1886.

C’est pourquoi, la fête du 1er Mai est organisée par les travailleurs, pour les travailleurs, en partenariat avec les gouvernements soucieux de maintenir un climat de paix sociale, d’accalmie ainsi que le bien être existentiel de leurs concitoyens.

Ainsi, les régies financières affirment qu’il n’existe aucun motif pour lesquels les travailleurs gabonais auraient reçu satisfaction.
Cela va constat que le gouvernement donne l’impression d’avancer d’un pas, mais en retour fait reculer les régies financières de deux pas.

Ainsi, sur le plan national, les espoirs nés du forum de la Fonction publique ont été rapidement différés par la mise en œuvre chaotique des recommandations issues de cette grande masse: intégration parentales et amicales, avancements automatiques toujours gelés( on avance les nouveaux venus et on bloque les anciens), arrivage des pensions de retraite au nouveau système des rémunérations encore et toujours non effectif.

Pour les régies financières et administrations assimilées, les perspectives ne sont pas meilleures, à l’exemple des conditions de travail qui sont très exécrables, violations et liquidation systématique des libertés des travailleurs, persécution des leaders syndicaux, notamment le président de la D.U( Dynamique Unitaire), à qui on colle des motifs injustifiés et injustement gardé à vue à la prison centrale de Libreville.


Au regard du tableau sombre dépeint plus haut, les leaders syndicaux dont, SYNAPERDOUANES, qui a pour secrétaire générale Mme Pulchérie Matteya, TRANSPARENCE, monsieur Ngoulou Jean Jacques et SYLICONE, monsieur Bouyou Mbatchi Oswald, demandent la relax sans condition du président Jean Rémi Yama et sa réinsertion à la fonction publique.

Une bataille sans relâche, ce malgré les persécutions , les leaders des syndicats autonomes cités supra continueront de mener cette bataille peu importe les ombrages…

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