Par la Rédaction
Au lendemain de la chute de l’ancien régime, le Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) décidait du remplacement des principaux édiles du Grand Libreville.
Conséquemment, les édiles de Libreville centre et d’Owendo, tous du Parti Démocratique Gabonais (PDG), ont été limogés, au profit des généraux Judes Ibrahim Rapontchombo et André Sandri Nombo.
Depuis, plus rien. Juste Parfait Biyogo B’Otogo et Yvon Patrick Rombongouera, respectivement maire de la Commune de Ntoum et d’Akanda, semblent avoir résisté à la tempête.
Une situation qui interpelle plus d’un, ce d’autant que le maire de la Commune d’Akanda a été longtemps dénoncé par les populations de cette partie de Libreville, pour sa proximité supposée avec les principaux membres de la Young team.
Contre lui, une pluie de plaintes toutes en rapport avec le foncier. En poste depuis juin 2020, le successeur de Grégory Laccruche Alihanga est dénoncé par plus d’un compatriote, bien que certains lui concèdent les talents d’un excellent manager.
Pour autant, une question subsiste au sein de l’opinion : Si Christine Mba Ndoutoume et Jeanne Mbagou n’ont pas résisté au Tsunami du CTRI, à qui Rombongouera et Biyogo B’Otogo, pourtant dénoncés par les populations, doivent-ils leurs maintiens respectifs?
Une problématique qui taraude les esprits.
