Par Stive Roméo Makanga
Devenue la nouvelle lubie du gouvernement, la vaccination est aujourd’hui présentée aux populations comme la solution miracle pour “retrouver une vie normale”.
Un grossier mensonge puisque de nombreuses études réalisées sur la crise pandémique actuelle révèlent à plus d’un égard tout le contraire de ce que prêchent Guy Patrick Obiang Ndong et ses collègues.
Une récente étude du Lancet, célèbre revue scientifique médicale hebdomadaire britannique indique que les personnes vaccinées contaminent autant, si ce n’est plus que les personnes non vaccinées.
Plus surprenant encore, une autre étude sortie en France a fait la démonstration que le taux de vaccination n’a absolument aucun impact sur le taux d’incidence. Les exemples sont donc légions.
Intervenant sur la question, Pamela Obertan, docteure en science politique et en droit révèle qu’il y a peu, une étude sur 68 pays ayant adopté la vaccination massive a démontré que “le taux de vaccination ne joue pas sur la transmission et la contamination”. Mieux, “les contaminations augmentent dans les pays qui se sont fait fortement vacciner”.
Le gouvernement gabonais joue-t-il réellement la carte de la franchise? Vers quelle ambition mène-t-on les populations ? Pourquoi le CIRMF observe-t-il un si profond silence, laissant les populations dans un étourdissement indicible? Des questions qui taraudent plus d’uns.
“Scientifiquement parlant, la vaccination ne tient plus. Scientifiquement parlant, le pass sanitaire s’effondre” soutient la même source. Et: “On disait même qu’on vaccine à cause du taux d’hospitalisation. Mais on a les données. En France, 57% des gens qui sont à l’hôpital sont des gens qui ont été vaccinés. En Écosse, 80% des personnes qui étaient à l’hôpital et qui sont décédées étaient des personnes vaccinées. Même les formes graves, sévères, les personnes vaccinées les fonts. En Israël 90% des formes sévères, les personnes vaccinées les font”.
Des données judicieuses, qui sous entendent que le gouvernement gabonais est rentré dans le dogme.