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Yves Fernand Mamfoumbi face à la presse au lendemain de la déclaration de politique générale d’Alain Claude BILLIE BY- NZE.

Par Kongossanews

Par Alfred Bekale

Yves Fernand Mamfoumbi, le porte-parole du Gouvernement, s’est entretenu avec la Presse Nationale et Internationale hier à l’auditorium de la maison Georges Rawiri de Libreville. Occasion pour lui de revenir sur les points saillants du programme de politique générale présenté et défendu par le chef du gouvernement.

Après la déclaration de politique générale du premier ministre, chef du gouvernement, Alain Claude Bilie By Nze à l’Assemblée nationale le 24 janvier dernier, le porte-parole du gouvernement, Yves Fernand Mamfoumbi s’est entretenu avec les hommes et les femmes des médias. Cette rencontre avait pour objectif d’édifier le public sur les grands axes de la politique du premier ministre chef du gouvernement.

Il était question pour le membre du gouvernement d’aborder les nombreuses thématiques qui préoccupent les populations.

Entre autres, le réseau routier, la cherté de la vie, l’éducation, la santé, l’insertion professionnelle, la situation des retraités au Gabon.

À cet effet, concernant la question de la cherté de la vie, le porte-parole du gouvernement détenant aussi la casquette de ministre du commerce, des petites et moyennes entreprises et de l’économie sociale, a rassuré qu’un accent particulier sera mis sur la lutte contre la vie chère.

En ce qui concerne le centre gabonais des élections, Yves Fernand Mamfoumbi a indiqué : « Le gouvernement est pour le renouvellement du Centre Gabonais des Élections. Mais, la participation de toutes les forces vives de la nation politique est primordiale ».

Toutefois, il a déploré le comportement de certains membres de l’opposition qui selon lui, ne vont pas à l’essentiel.

Dans le même ordre d’idée, concernant la question d’enrôlement, il a affirmé que la matérialisation de ce dernier va intervenir d’ici mars 2023.

S’agissant des documents y relatifs, il faudra être en possession d’un passeport, acte de naissance ou un jugement supplétif.

Avant de rajouter plus loin que, l’administration chargée des questions d’enrôlement s’est dotée d’un dispositif pour éviter tout dérapage.

Ainsi, le porte- parole du gouvernement a rassuré la presse de la tenue prochaine de la concertation politique annoncée par le chef de l’État. À ce propos, il a déclaré : « le gouvernement va tout mettre en œuvre sous les hautes instructions du président de la République, afin de pouvoir mener cette concertation politique ».

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