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ONE FOREST SUMMIT : Emmanuel Macron et Ali Bongo Ondimba, une volonté communément partagée

Par Kongossanews

Par Agnès Limori

À la faveur du sommet sur la préservation des forêts tropicales, Ali Bongo Ondimba a reçu mercredi 1er mars courant à 20h au palais Rénovation, son homologue français Emmanuel Macron.

Les deux hommes, très engagés sur les questions liées à la protection des forêts, de la biodiversité et de nombreuses thématiques environnementales, ont au cours de leur entrevue, abondamment échangé sur les préoccupations climatiques, économiques, sanitaires et sécuritaires, de même que sur les opportunités économiques.

Co-organisé par la France et le Gabon, le One Forest Summit devrait permettre d’aboutir, au terme des réflexions, à une augmentation de la valeur ajoutée économique des pays forestiers, d’une part; et à l’adoption de solutions concrètes ce grâce à la mise en place de filières durables, d’autre part.

Emmanuel Macron remettant un don à Ali Bongo Ondimba

DES RELATIONS DE COOPÉRATION BILATÉRALE

Outre le Sommet et ses enjeux, les deux présidents ont aussi évoqué les questions de coopération bilatérale, de même que l’actualité continentale et internationale.

En matière de coopération, des axes importants ont été abordés, notamment pour le renforcement du secteur Éducation en matière de formation et construction de salles de classes; Sécuritaire pour ce qui est des crises régionales; Défense pour ce qui est du renforcement des capacités et formation; Économique, pour les relations avec les Organismes internationaux, et international en ce qui concerne l’agenda des Nations Unies.

Des échanges qui ont permis aux deux hommes d’entrevoir de belles perspectives de développement.

UN DON REPRÉSENTATIF DE LA CULTURE GABONAISE

En guise d’amitié, Emmanuel Macron a remis à son homologue gabonais, à titre de don, un Fonds documentaire d’Herbert Pepper, chercheur et ancien ethnomusicologue à l’Office de la Recherche Scientifique et Technique de l’Outre-Mer (ORSTOM).

Il s’agit d’enregistrements rarissimes effectués au Gabon entre les années 1941 et 1960. Une œuvre de recherche, composée de 900 séquences sonores représentant un total de 700 heures d’enregistrement de tradition orale et musicale, qui sera désormais conservée au Gabon.



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