Par Joseph Mundruma
Dans un paysage de la communication où la véracité des informations est de plus en plus essentielle, il est essentiel de rappeler que même les professionnels peuvent se tromper. C’est le cas de Stempy Love Obame, animateur émérite et bien connu chez nous, qui a récemment été entendu par les autorités militaires pour avoir diffusé des informations non vérifiées sur les réseaux sociaux.
Bien que Stempy Love Obame soit un personnage bien établi dans le paysage de la communication gabonais, il est important de souligner que même les professionnels peuvent commettre des erreurs. Cela est d’ailleurs attesté par l’histoire de nombreux journalistes de renom qui ont déjà été victimes de la diffusion d’informations non vérifiées, surtout en ces temps où le numérique a le vent en poupe.
Les excuses de Stempy Love Obame : Un geste de bonne foi
Il est également important de reconnaître que Stempy Love Obame a lui-même présenté des excuses à la télévision nationale pour ses erreurs. Cela montre que l’animateur est conscient de ses fautes et qu’il est prêt à se corriger. Ce geste de bonne foi montre que Stempy Love Obame est un professionnel honnête et responsable.
« Je voudrais, par la même occasion, je profite de votre micro, pour demander par contre également au chef de l’État et aux membres de son cabinet que, certainement, j’ai heurté la sensibilité, car mon intention n’a jamais été de heurter la sensibilité de quiconque, » a-t-il déclaré.
Un soutien loyal au CTRI et au Président de la Transition
Il est également important de rappeler que Stempy Love Obame est un fervent soutien du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) en général, et du président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, en particulier. Cela montre que Stempy Love Obame est un animateur non seulement engagé, mais aussi déterminé à promouvoir les valeurs de la transition et de la démocratie au Gabon.
Encore une fois, il est essentiel de rappeler que même les professionnels peuvent se tromper. C’est l’essentiel que les populations devraient reconnaître, au lieu de s’insurger contre un compatriote qui a fait amende honorable pour ses fautes.