Par la Rédaction
Alors que la rentrée des classes est effective depuis peu dans le Grand Libreville, dans le reste des provinces, celle-ci tarde à suivre le pas.
Le cas de L’Ogooué Ivindo, où la majeure partie des classes sont tenues par des bénévoles. À Mekambo, chef-lieu du département de la Zadié, sur un total de 30 écoles, avec 119 enseignants répartis en leur sein, 86 sont des bénévoles non-salariés, et 33 sont des agents publics, donc salariés.
Plus grave, les 33 salariés tiennent des rôles moindres puisque certains assurent les fonctions de directeurs d’écoles, surveillants généraux, tandis que d’autres sont en situation de départ à la retraite.
C’est dire que l’avenir de l’Éducation dans le département de la Zadié se trouve gravement compromis.
En guise de protestation, les enseignants bénévoles de cette partie de l’hinterland, qui assurent avoir pour certains plus d’une décennie dans le bénévolat, souhaitent ne plus revivre le même cauchemar.
Ainsi, ils tiennent mordicus qu’aussi longtemps que leur situation ne sera pas prise en compte par les nouvelles autorités de la Transition, pas de début de cours possible.
Une décision prise à l’effet de protester contre le mauvais traitement dont ils ont longtemps fait l’objet, beaucoup parmi eux vivant dans une précarité inouïe.
2 Commentaires
Omis les bénévoles comme vous le dites,il y’a aussi les moniteurs locaux qui servent le ministère de l éducation mais appartiennent au ministère des travaux publics.le savez vous?
Voici ici les problèmes cruciaux à résoudre dans l’immédiat, au lieu de prendre des décrets pour ramener ces mêmes perfides sorciers qui sont à l’origine de ces problèmes.
Certains hiérarques du PDG sont multi milliardaires en centaines de milliards s’étend taillé la part belle à l’époque d’Accrombessi. Car depuis l’avènement d’Ali Bongo au pouvoir le pays n’a fait l’objet que de pillages.
Partant de la légion étrangère ( Accrombessi, libane Souleymane, Seydou Kane…) à la young team en passant tles BLA boys , le pays souffre