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Célébration PDG en différé/Tchibanga: Non, Edgard Anicet Mboumbou Miyakou n’a pas quitté les festivités en colère

Par Kongossanews

Par Stive Roméo Makanga

Depuis le remaniement de l’équipe Ossouka Raponda en mars dernier, lequel a par ailleurs entériné les remplacements de certains acteurs majeurs de cette dernière dont Edgard Anicet Mboumbou Miyakou, l’ancien ministre de la Communication et de l’économie numérique, les supputations s’amoncellent. Dernière en date, le départ de l’ancien membre du gouvernement de la tribune officielle de Tchibanga, alors que se poursuivait la cérémonie marquant le 54e anniversaire du Parti démocratique gabonais (PDG).

Un retrait avant conclusion interprété par d’aucun comme un agacement du rejeton d’Antoine de Padoue. Une observation que les proches de Mboumbou Miyakou, interrogés par nos soins, considèrent comme une méprise de plus.

Selon toute confidence, l’objectif premier des festivités organisées en différé dans l’ensemble des provinces du Gabon seraient pour permettre un rassemblement des cadres, militants et sympathisants du parti des masses de l’hinterland.

Outre les célébrations principales, prévues pour se tenir dans les chefs lieux des provinces, d’autres, revanche, ont lieu dans les départements, en présence des élus locaux.

Ce serait donc, en considération de cette optique d’avance fignolée par les acteurs PDG, qu’Edgrad Anicet Mboumbou Miyakou aurait entrepris de prendre congé de ses “camarades”, peu avant le terme de la cérémonie, aux fins de rejoindre les militants de Ndindi, son fief électoral.

Une vue du rassemblement de la Nyanga

Plus explicite encore, l’ancien membre du gouvernement se serait retiré avec toute la discrétion qui l’a toujours caractérisé, après en avoir informé et présenté son agenda calendaire, de même que son profond regret au Secrétaire national 5 (SN5) et à Alexis Boutamba Mbina, Membre du comité permanent, les conditions météorologiques, en forte dégradation sur Mayumba hâtant de fait sa décision.

Selon nos sources, toutes les chances d’une navigation sans incidents pouvant être à un moment donné compromises, l’excursion dur Ndindi est apparu dès lors comme une urgence de premier ordre.

Des arguments qui, soumis à l’appréciation des principaux responsables du PDG suscitées, n’ont pas manqué d’obtenir toute leur approbation.

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