Par Agnès Limori
Le Ghana, la Sierra Leone, le Soudan, le Cameroun, le Nigeria, le Liberia, le Burundi, la République de Guinée, la Gambie, le Togo, la République démocratique du Congo, le Sénégal, le Bénin, la Côte d’Ivoire, le Congo, le Rwanda, le Burkina Faso, la Guinée-Bissau, les Comores et la République Dominicaine, vingt pays africains au total, ont depuis le 18 octobre dernier, une suspension de visa de 30 jours.
Une mesure consécutive, pense-t-on, au scandale dénommé “Porta porti”, très relayé sur toutes les plateformes de diffusion de l’information il y a encore quelques mois.
Il faut relever que ce scandale, commenté et dénoncé sur les réseaux sociaux par de nombreux leaders d’opinions, a provoqué une chute drastique de l’image de marque de cet émirat des Emirats Arabes Unis.
La petite ville de 3 millions d’habitants, très réputée pour son shopping de luxe et son architecture très moderne, s’est illustrée de bien mauvaise manière.
La liste des pays suspendus de visas de 30 jours serait ainsi une mesure sélective des pays africains désormais considérés comme suspects, et potentiellement capables de se livrer à des actions prohibées, dont la la prostitution.
