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Paix et développement: Alain Simplice Boungoueres fait la synthèse des enjeux et souhaite une adhésion massive des femmes

Par Kongossanews

Par Stive Roméo Makanga

Après avoir tenu lui et ses congénères une grande convention dite républicaine et patriotique pour la paix et le développement du Gabon en octobre dernier, à l’amphithéâtre de l’École normale supérieure et technique (ENSET); rassemblement qui avait débouché sur la signature d’une pétition et une charte illustratives de cette ambition, puis fait le point à Faustin Boukoubi, président de l’Assemblée nationale, Alain Simplice Boungoueres a de nouveau été l’hôte de marque d’une énième organisation.

Il s’agit du Mouvement des femmes de l’opposition et de la société civile républicaine et patriotique pour la paix et le développement, qui a tenu à exalter les agrégats de la paix, jugés impérieux pour la bonne croissance du Gabon.

“Notre positionnement aujourd’hui cadre avec la grande vision de son Excellence Ali Bongo Ondimba, président de la République, chef de l’État”, a déclaré Alain Simplice Boungoueres, devant une foule en liesse.

Alain Simplice Boungoueres (centre), faisant le point de son allocution à la presse

Et: “loin du poison de la division, cultivons tous la paix et soyons fiers”, a-t-il soutenu, rappelant en outre le rôle majeur de la femme au sein du cocon familial, et de la pertinence de la décennie de la femme, concept promu par Ali Bongo Ondimba, dès l’entame de son premier mandat.

Pour Anouska Grâce Mombo, présidente des “Femmes Battantes du Gabon”, et Caroline Mengue, présidente du parti politique PNEGV, intervenant tour à tour sur l’objet du rassemblement, il est question aujourd’hui de soutenir les efforts multiples d’Ali Bongo Ondimba, du reste très engagé sur les problématiques liées à la paix, la famille et la femme.

Vue de quelques femmes leaders, lors de l’événement

Terminant son propos, Alain Simplice Boungoueres, président d’honneur et parrain de l’événement, a appelé les femmes à être des relais, chacune pour sa part et dans son milieu immédiat, de la pétition paraphée le 22 octobre dernier. Il a également souhaité que soit soutenue la démarche initiée par ses soins, celle d’instaurer une journée nationale de la paix.

Pour lui, il est question de privilégier le dialogue, la présidentielle approchant, avec tous les risques de déferlement de violences, tel que souvent observé au cours de ces échéances.

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